Mélanie Notkin publie en 2014 Otherhood que l’on peut traduire par « l’autre maternité ». À cette époque, cela fait déjà quelques années que je me pose et pose des questions sur les femmes sans enfant d’un point de vue islamique.
Lire la suite
Mélanie Notkin publie en 2014 Otherhood que l’on peut traduire par « l’autre maternité ». À cette époque, cela fait déjà quelques années que je me pose et pose des questions sur les femmes sans enfant d’un point de vue islamique.
Lire la suiteLes épouses du Prophète après sa mort sont restées célibataires, sur ordre du Divin[1]. Certaines d’entre elles ont vécu une longue vie, célibataire. Il parait donc invraisemblable que les communautés musulmanes, à la manière des sociétés en générales, discréditent le célibat et rabaissent les célibataires.
Lire la suiteCe qui m’a particulièrement interpellé dans Sorcières, la puissance invaincue des femmes ce sont les parallèles applicables à l’histoire de la femme musulmane. C’est-à-dire que l’image et le rôle attribué aujourd’hui aux musulmanes dans les discours dominants sont l’héritage d’une histoire postérieure au Prophète Mohammed. En effet, durant la période contemporaine du messager jusqu’au début de la période abbasside ( IXe siècle), la femme occupait l’espace public. Elle disparait peu à peu en faveur de la formation d’un discours politico-religieux, l’enfermant dans un rôle lié à sa constitution biologique .
Sorcières excave un passé à l’origine des idées reçues sur les femmes en particulier les femmes célibataires et les femmes sans enfant en Europe et en Amérique du Nord.
Lire la suite