Suis-je prête ? Suis-je prête spirituellement à ne pas avoir d’enfant ? M’a-t-on préparée à l’éventualité de ne pas avoir d’enfant ?
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Suis-je prête ? Suis-je prête spirituellement à ne pas avoir d’enfant ? M’a-t-on préparée à l’éventualité de ne pas avoir d’enfant ?
Lire la suite« Families only », « family friendly », « bring your family », « he/she has a family now! », « come with your family! », « I have my own family » … You have seen or heard these expressions. These expressions, in our time, discriminate. The reason is simple: the word family regularly refers to a couple with at least one child or a single parent.
Lire la suite« Oh, mais tu sais les enfants c’est une bénédiction de Dieu/Allah » voilà la phrase de réconfort offerte aux personnes désireuses d’avoir des enfants (sans succès) ou sans espoir d’en procréer.
En y réfléchissant, s’adresser à une personne sans enfant en lui affirmant que les enfants sont une grâce, une bénédiction de Dieu revient à une forme d’arrogance en particulier si l’interlocuteur est parent.
Lire la suiteEst-ce simple de ne pas ressentir des émotions comme la jalousie ou l’envie ?
Dans toutes sociétés, toutes cultures et religions, la jalousie et l’envie représentent des émotions très négatives.
C’est la raison pour laquelle ressentir ces émotions cause une grande détresse, une grande souffrance aux hommes et aux femmes qui les éprouvent.
Lire la suiteMélanie Notkin publie en 2014 Otherhood que l’on peut traduire par « l’autre maternité ». À cette époque, cela fait déjà quelques années que je me pose et pose des questions sur les femmes sans enfant d’un point de vue islamique.
Lire la suite« Puisque je n’ai pas d’enfant, je dois prier plus pour les autres ! » Une personne non musulmane sans enfant a partagé cette réflexion avec moi il y a quelques années. Cela m’a semblé une bonne idée, bien que personne ne nous l’impose. Elle arguait que les parents n’ont plus le temps de prendre un moment spirituel pour eux même, en particulier, durant les premières années de leurs enfants.
Lire la suiteThe stigmatization of childless women, the divinization of mothers, the mythification of parenthood are violence against women.
Lire la suiteDans le livre d’invocations très connu dans nos communautés musulmanes, La Citadelle du Musulman[1], des prières existent lors de doutes dans sa foi.
En d’autres termes, la confiance totale en Dieu peut se perdre dans les douleurs des épreuves.
Cependant, lorsque la confiance, autrement dit la foi, se base sur des promesses jamais faites par le Divin tout se complique.
Lire la suiteLes épouses du Prophète après sa mort sont restées célibataires, sur ordre du Divin[1]. Certaines d’entre elles ont vécu une longue vie, célibataire. Il parait donc invraisemblable que les communautés musulmanes, à la manière des sociétés en générales, discréditent le célibat et rabaissent les célibataires.
Lire la suiteLa série Yaay 2.0 créée par la scénariste Kalista Sy nous plonge dans le monde des femmes sénégalaises. Yaay 2.0 montre aux téléspectateurs les attentes de la société sénégalaise pour ces femmes : être mariée, mère avant trente ans, et mère d’un enfant ne portant aucun handicap.
Ainsi on découvre six portraits de femmes dans cette série :
Lire la suiteLes musulmanes et les musulmans sans enfant amènent à redéfinir le sens du mariage. Leurs vécus interrogent l’autorisation supposée de la polygamie dans le Coran.
Dans un précédent article, je raconte la finalité du mariage qui n’est pas la procréation, mais plutôt un amour bienveillant entre deux partenaires complémentaires s’offrant un soutien mutuel. (Sourate 30 verset 21)
Or, actuellement avec l’appui de savant-e-s religieux, de nombreux musulmans considèrent la procréation comme la finalité du mariage. Ils légitiment donc le divorce en cas d’infertilité ou de stérilité de l’un des partenaires. Dans la plupart des cas, la femme est la laissée-pour-compte, elle se transforme en pièce interchangeable.
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