Pour les personnes sans enfant par circonstances le mois de Ramadan peut être une épreuve difficile. Difficile parce que ce mois correspond à un mois hautement spirituel censé rapprocher le croyant musulman du Divin. Or, lorsque l’on formule des vœux en particulier durant le mois de Ramadan et qu’ils restent sans réponse la confiance en Dieu est sérieusement ébranlée. Le sens de ce mois peut donc se perdre et être teinté d’amertume.
Garder la foi
Ces dernières années, j’ai écrit des articles sur la foi et les définitions qu’on lui donne dans les communautés musulmanes, des définitions en contradiction avec l’esprit du Coran. Des définitions qui mettent à mal les relations des musulmanes et des musulmans sans enfant par circonstances avec le Divin.
Sans enfant : La foi en question
Accepter son humanité
Les émotions comme l’envie et la jalousie je les définis et les aborde également spécifiquement dans un article.
Quel lien avec le mois de Ramadan me demanderez-vous ? Eh bien, lors de déception ces sentiments peuvent émerger naturellement.
Vous pouvez lire ou relire l’article que j’ai consacré au mois de Ramadan il y a deux ans.
Continuer d’apprécier le mois de Ramadan
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